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Aller marcher. Au début du chemin de terre laisser le véhicule et partir d'un bon pas dans les bois, en direction de l'étang de Pampigny. On traversera la zone humide avec plusieurs arrêts pour trouver un bon cadrage. Une fois le petit pont enjambé, il faut tourner à gauche. On tournera encore à gauche quelques fois, afin de retrouver la voiture au bout de deux bon km En cours de route, s'arrêter, lever les yeux et regarder le lent balancement des arbres, tendre l'oreille pour écouter le vent, les oiseaux ne sont pas encore là. En dehors du vent, ce sont les tirs de la place d'arme que l'on entends comme un grondement de tonnerre qui roule contre le Jura.
L'Etang à la fin de l'hiver ...
Gardez la malicieuse jeunesse qui court les yeux émerveillés au-devant du monde et qui de tout, de la fleur comme du jardin, d’une miette comme de tout le festin, de peu, de rien, comme de beaucoup, tire la même joie. »
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Le projet photographique donne un objectif intéressant à la promenade, surtout si tu penses aussi a en faire ensuite des haïkus. Se faire du bien sans s'ennuyer  Dans chaque vieux il y a un jeune qui se demande ce qui s'est passé (Groucho Marx)
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Cette semaine nous avons été promener tous les jours. Nous avons visité de fond en comble le joli village de Perroy, avec son prieuré et son château à vendre. Nous avons longé le Combagnou sur la commune de Pampigny et le Lamponex dans les bois de Grançy une fois la rive droite et une fois la gauche, découvert des châteaux en Gruyère et un horrible chemin de glace, marché en ville, de Globus au Belvédère, et du refuge de St-Sulpice à l'église romane et retour.
Cela me redonne du courage pour ressortir. Bien habillée un bonnet sur les oreilles des gants au besoin, mes fidèles baskets aux pieds, j'ai retrouvé du plaisir. J'en avais un peu marre de toujours marcher toute seule.
Gardez la malicieuse jeunesse qui court les yeux émerveillés au-devant du monde et qui de tout, de la fleur comme du jardin, d’une miette comme de tout le festin, de peu, de rien, comme de beaucoup, tire la même joie. »
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Comme je te comprends ;) La plupart du temps nous marchons ensemble, je n'aime pas tant me balader seule. J'apprécie parfois le faire mais c'est assez exceptionnel. J'aime bien partager même si ce n'est pas toujours verbalement. En effet, quand on marche on se tait le plus souvent, on parle quand on s'arrête, surtout à la montée  Mais si on suit un petit chemin sympa et pas difficile, alors oui, on parle beaucoup ;) Dans chaque vieux il y a un jeune qui se demande ce qui s'est passé (Groucho Marx)
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Malheureusement, c'est reparti pour 6 semaines de marche en solitaire. Je ne sais pas comment font les jeunes pour écouter de la musique en marchant. J'aime entendre les sons de la nature et me trouve désécurisée si je ne peux pas entendre les bruits de mon environnement.
Gardez la malicieuse jeunesse qui court les yeux émerveillés au-devant du monde et qui de tout, de la fleur comme du jardin, d’une miette comme de tout le festin, de peu, de rien, comme de beaucoup, tire la même joie. »
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Je suis comme toi, je ne peux pas marcher avec des écouteurs sur les oreilles. Il n'y a qu'en voiture que j'aime mettre la radio ou de la musique ou bien entendu chez moi. Mais sans écouteurs, je déteste mettre des trucs dans mes oreilles. Déjà à l'époque des walkman j'avais remarqué cela.
Durant ces 6 semaines, on verra si on peut aller marcher toutes les deux  Dans chaque vieux il y a un jeune qui se demande ce qui s'est passé (Groucho Marx)
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T'es trop chouquinette !  vu:
Hier, je ne suis pas sortie marcher, j'ai voulu aller marcher le long du lac après une visite urgente à N°2 et il y avait un cantonnier qui posait des panneau d'interdiction de promenade à St-Sulpice: le vent se levait et les rafales étaient déjà bien fortes. Je déteste marcher sur les chemins vicinaux entre les champs et pas question d'aller en forêt par vent tempétueux. J'ai donc fait une trois quarts d'heure de Q gong chez moi . Ce n'est pas comme la marche, mais au moins j'ai bougé.
Hier après-midi les bourrasques de vent étaient si violentes qu'elles soulevaient le velux fermé du salon :( Gardez la malicieuse jeunesse qui court les yeux émerveillés au-devant du monde et qui de tout, de la fleur comme du jardin, d’une miette comme de tout le festin, de peu, de rien, comme de beaucoup, tire la même joie. »
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