Les aventures de Plumebleue

Les aventures de Plumebleue

Anxiogène, la colapsologie ?

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Sir Plume me tend le journal de la Grosmi, avec un article qu'il trouve intéressant.  Je lis le début et referme le journal.
Non que je ne veux pas savoir, mais parce que cela m'angoisse de  lire comment notre civilisation va se terminer.
Cela m'angoisse pour ma génération (ma vieillesse), pour celle de mes enfants et pour celle de ma petite fille et je refuse tout net de me laisser troubler par des angoisses vaines.
Je suis totalement impuissante à gérer ce type de problème. C'est à l'ensemble des économistes de Davos (WEF) qu'il faut dire ça !  C'est à eux de trouver des solutions s'il en existent ! 
Nous faisons ce qui est possible à notre échelle, celle des bouts de chandelle, qui soi-disant vont former de grands ruisseaux. En ce qui concerne l'énergie, qu'on impose déjà à mon propriétaire de bien isoler sa maison, ce serait déjà pas mal.
Tous mes appareils ménagers ont une fonction ECO que j'emploie de préférence. Je ne me royaume pas pour un oui ou pour un non et j'emploie, quand c'est possible, les transports publiques. Je surveille la provenance de mon alimentation et privilégie le local, les saisons (mais là, ça devient complétement fou avec le réchauffement climatique). bref je fais ce que je peux, comme je peux.
Qu'on vienne porter à ma connaissance la fin de notre monde m'exaspère et me stresse pour rien. C'est inéluctable ! 
Et vous qu'en pensez-vous ?
Gardez la malicieuse jeunesse qui court les yeux émerveillés au-devant du monde et qui de tout, de la fleur comme du jardin, d’une miette comme de tout le festin, de peu, de rien, comme de beaucoup, tire la même joie. »

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Il y a toujours eu des Cassandre dans ce monde et pour ma part, je n'ai pas non plus envie de me laisser angoisser par ce genre de discours. J'ai déjà assez d'angoisses comme ça dans ma vie de tous les jours.
Reste que je garde une sorte de confiance dans les capacités de l'Homme de faire face à l'adversité, quelle qu'elle soit. Si ce n'est pas moi qui peut résister, ce sera un autre. Et si les Hommes doivent disparaître de cette terre, en fait, cela ne me fait ni chaud ni froid. J'ai toujours pensé que nous ne faisons que passer sur cette planète.
Comme toi, je fais ce que je peux, à mon échelle, pour respecter mon environnement naturel et humain et je n'écoute pas ces faux prophètes.
Je viens de lire un livre, "Qui se souvient des hommes..." de Jean Raspail qui raconte la fin des populations indiennes de l'extrême sud du Chili. Ces gens vivaient dans des conditions qu'on peine à imaginer et pourtant ils vivaient. Leur disparition est survenue à cause du "progrès", c'est-à-dire à l'arrivée des Occidentaux dans leur univers.
Ce livre m'a beaucoup impressionnée! Rien n'est fait pour durer sur cette terre...
Dans chaque vieux il y a un jeune qui se demande ce qui s'est passé (Groucho Marx)

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